[HOT /- 16] || New place, new chance ? No way…|| {Axel}

Cela faisait bien longtemps que là où nous logions fut aussi confortable. Le style de la chambre était s'assez bon goût et n'était pas trop tapageur, de plus ... il y faisait propre. C'était de loin le meilleur hôtel auquel nous étions descendu depuis un bail. Je déposai les valises sur le lit alors que Lily partit préparer sa douche. N'ayant pas entendu le loquet claquer, j'avais la certitude qu'elle m'attendait à l'intérieur, sûrement pour inaugurer les lieux. J'allais me faire attendre un peu cette fois-ci, il fallait que je range nos maigres effets d'abord. Cette chambre d'hôtel me plaisait assez bien et me donnai envie de m'installer, un tel sentiment était rare de ma part.
Une paire de minutes plus tard, les vêtements étaient rangés sur les étagères de l'armoire ou étaient étendus sur des cintres. Les vêtements de Lily sur les cintres ... ça faisait moins de pli selon elle. De la salle de bain se faisait entendre le bruit de la douche depuis quelques instants, j'espérais que la cabine de celle-ci serait assez spacieuse. Il ne restait qu'un sac rempli, c'était celui qui contenait nos instruments de travail ainsi que les quelques bijoux pour lesquels mon épouse avait craqué. Ce sac, je le poussai sous le lit, nous n'en aurions pas besoin dans l'immédiat. Après avoir mi en évidence sur la porte le légendaire "Don't disturbed", je me dirigeai vers la salle de bain et en ouvrit la porte, sans faire aucun bruit.

Mon aimée était debout, face à la douche, dans sa plus pure nudité. Elle était magnifique. L'eau s'écoulait paisiblement le long de ses formes généreuses, les soulignant mieux que n'importe quel vêtement. Sans prendre la peine de me déshabiller, j'entrai dans la douche. Le courant d'air dû à mon entrée la fit frissonner, et la chair de poule apparu sur elle. je me collai à elle et posai les mains sur ses épaules pour de les laisser descendre jusqu'à ses hanches, telle une lente caresse.
-" Je t'aime mon Coeur", je n'avais rien trouver de mieux à dire avant d'embrasser son cou. L'eau commençait maintenant à percer mes vêtements et la chaleur brouillait quelque peu ma vue. J'avais envie d'elle.

Mes mains sur ses hanches la firent pivoter, je l'avais maintenant face à moi bien qu'indistinctement, je pouvais voir dans ses yeux la même envie que moi. Elle passa ses mains autour de mon cou, je descendis les miennes au milieu de ses cuisses. Je la plaquai contre le mur, elle enroula ses jambes autour de ma taille. Je l'embrassai doucement, elle glissa ses mains sous mon t-shirt. Je donnai un coup de reins factice, elle grogna un peu et enleva mon haut. L'eau coulait dans mon dos, et comparé au corps de Lily elle semblait froide. Je sentais sa poitrine sur mon torse, douce et chaude à la fois et ses jambes qui m'attiraient de plus en plus contre elle. Je suivis cette envie et la serrai encore plus fort contre moi, l'écrasant presque entre le mur et moi, et je sentis ses ongles dans mon dos, traçant des sillons brûlants.

Petit à petit, le désir se transformait en passion et à son tour, celle-ci commençait à changer pour devenir un véritable torrent de plaisir. Autant il aurait pu faire chaud dehors, cette chaleur n'était rien comparé à ce qui se passait dans cette petite pièce. Je la ressentais contre moi, je n'avais plus qu'elle en tête. Elle se faisait de plus en plus insistante, allant même chercher mon sexe de sa propre initiative. Avec le poids de l'eau, il avait suffit de déplacer un peu mon caleçon pour qu'il chute lamentablement sur le sol. A présent nu, et d'une rigidité certaine, je m'impatientais aussi, je voulais entrer en elle, la sentir autour de moi, entendre ses petits cris dans mes oreilles, sentir son souffle la sentir bouger, ...
Non, j'allais la faire attendre, je la déposai alors à terre et lui saisit la poitrine, d'une main, pendant que l'autre s'amusait à tourner autour de son intimité, s'arrêtant avant d'entrer pour ensuite stimuler son clitoris. Du bout de la langue, je titillai un peu un téton, jusqu'à ce qu'il se durcisse après quoi, embrassant chaque partie du corps de ma bien aimée qui passait à ma portée, je m'agenouillai face à elle. Très doucement, je lui écartai les jambes et goûtai à son intimité.

Alors que ma langue gagnait peu à peu ce goût légèrement salé, j'entendais se faire de plus en plus présent les gémissement de ma maîtresse, et de petits mouvements spasmodiques firent peu à peu leur apparition. L'excitation semblait encore augmenter chez elle. Bien que je ne puisse voir son visage, j'étais presque sur qu'elle devait avoir cette petite moue qu'elle arborait souvent quand on faisait l'amour, mordillant sa lèvre inférieure légèrement tout en relevant son menton. Je continuai mon œuvre jusqu'au moment où ces mouvements se répétaient de plus en plus souvent. Certains gagnaient même en puissance quand, combinés à ma langue, quelques doigts agiles lui caressaient les seins ou alors s'inséraient en elle, la préparant à m'accueillir dans les minutes qui allaient suivre.

Elle finit par m'appeler et nous nous unîmes, dans la douceur dans un premier temps. Pour ensuite faire une montée en puissance, je donnais tout ce que j'étais capable de lui offrir, de son côté, elle faisait pareil, ce qui rendait nos ébats toujours aussi intense. Tout y passait, la douceur, la tendresse, mais aussi la force et l'intensité. Quand mes mains ne caressait pas le sillon d'entre ses seins, elles se posaient sur ses hanches, les agrippaient fermement et venait accentuer l'intensité de la pénétration. Les gémissements de ma douce se faisaient alors plus intenses, ressemblant à plus de petits cris.
Soudain, elle grimpa sur moi, changeant les rôles, c'était elle qui prenait les choses en mains maintenant. Le rythme se fit plus lent, les pénétrations plus profondes. Plutôt que de se concentrer en un seul endroit, le plaisir se répandit partout en moi, ma femme était vraiment une déesse, que ce soit dans la vie de tout les jours ou au lit, elle excellait. Cette lenteur nous permit de reprendre un peu notre souffle, sans faire retomber le plaisir d'une seule once.
Je profitai d'un moment où elle se relevait pour, d'un coup de rein, la surprendre. Cette entrée profonde et rapide en elle lui arracha un cri mêlant surprise et plaisir. L'espace d'un instant, nous ne fîmes plus rien, je m'étais redressé et avait maintenant mon visage à hauteur du sien, les yeux dans les yeux, nos corps entremêlés aussi intimement que possible. Un sourire mutin aux lèvres, elle tourna autour de mon sexe tendu pour se retrouver dos à moi. Aussi vigoureusement que tout à l'heure, je continuais de lui faire l'amour, alternant les coups de reins puissants, profonds et lents avec ceux plus rapides. Je sentais ce feu de passion me consumer de l'intérieur, c'était si agréable. Je ralentis un peu, et me couchai sur elle, en profitant pour lui baiser les lèvres pendant qu'une main parti lui apporter quelques nouvelles caresses intimes.

Elle, aussi, était proche de l'orgasme et bientôt tout ceci prendrait fin. Le sexe nous permettait de nous isoler, d'être loin de tout et de tous. Quand nous faisions l'amour, oui l'amour, nous ne couchions pas ensemble, nous étions seuls, étant tout l'un pour l'autre. Nous ne faisions plus qu'une seule et même entité. Je sentais que j'allais jouir, il ne restait plus beaucoup de temps. Pour finir en beauté, plutôt que d'accélérer simplement le rythme, je choisis d'aller aussi au plus profond d'elle, entrant en elle plus brusquement. Je me retins le plus longtemps possible, pour prolonger ce moment qui n'appartenait qu'à nous. Je me contractai mais bien vite, je ne tins plus et joui en elle dans un ultime et puissant coup de rein. Avant de m'abaisser vers elle, pour lui parler. Je l'avais entendue, peu après moi, gémir plus intensément.

J'étais encore essoufflé par notre performance et je sentais les pulsations de mon coeur jusque sur mes tempes. Seulement, une fois arrivé à sa hauteur, je n'avais plus envie de parler, elle s'était retournée, et elle aussi haletait encore. Sa poitrine se soulevait rapidement et partout sur elle se trouvaient de petites perles argentées, un subtil mélange des reliefs de la douche ainsi que de notre performance. Non, parler aurait vraiment tout gâcher, tendrement, je pris son visage entre mes mains avant d'effleurer ses lèvres d'un léger baiser. Ensuite, je quittais cette baignoire entraînant avec moi ma tendre Lily.

En tenue d'Eve, nous nous allongeâmes sur le lit, moi dans son dos. Je passai mon bras autour de sa taille et mêlai mes jambes aux siennes. C'était notre moment de douceur pure. Je l'embrassai alors dans le cou et l'attirai un peu plus contre moi. Après l'amour, elle avait une odeur particulière, qui la rendait encore plus irrésistible. J'avais encore plus envie que d'habitude de lui faire l'amour, de la voir éprouver du plaisir, ... de l'Aimer davantage, tout simplement.